La rédaction LE BON GUIDE
Cette année, le 102e Tour de France (du 4 au 26 juillet) ne laissera que peu de répit aux cyclistes, car pas moins de sept étapes de montagne sont au programme, et 5 arrivées en altitude. De quoi pimenter le parcours, creuser des écarts dans le peloton et voir l'apparition du fameux « grupetto » .
C'est entre Rennes et Mûr de Bretagne, 8e étape du Tour que les cyclistes feront face à leur première grimpette, une côte de 2 km à 6,5 %, un petit avant goût des Pyrénées. Car après un contre-la-montre de 28 km de Plumelec à Vannes, ils profiteront d'une journée de repos bien méritée avant d'entamer la difficile succession d'étapes de montagne au programme de cette année.
Changement de décors avec la 10e étape, qui réserve une arrivée inédite à la Pierre-Saint-Martin (Pyrénées-Atlantiques) et passera par le col de Soudet, culminant à près de 1540 mètres d'altitude. Presque une promenade de santé tant l'étape suivante entre Pau et Cauterets dans la vallée de Saint-Savin s'annonce difficile. La côte de Bagnères-de-Bigorre, le col d'Aspin (1490 m) et le mythique col du Tourmalet (2115 m), le parcours est à lui seul un véritable défi. La 12e étape au départ de Lannemezan sera marquée par la traversée du col de Portet-d'Aspet (1069 m) connu notamment pour le tragique décès de Fabio Casartelli survenu en 1995, le col de la Core (1395 m) et l'arrivée sensationnelle au Plateau de Beille (1780 m). La transition vers les Alpes se fera plus douce mais connaîtra tout de même quelques sursauts d'ascensions notamment entre Rodez et Mende, à Côte de Sauveterre (1014m) et Côte de la Croix Neuve (1055m).
À partir de la 17e étape, les spectateurs auront droit à un vrai concentré de montagne. D'abord entre Dignes-les-Bains et Pra-Loup qui verra les coureurs franchir le célèbre col d'Allos (2250 m). Sans oublier les lacets de Montvernier et ses terribles virages lors de la 18e étape. Entre Saint-Jean-de-Maurienne et La Toussuire, c'est le col de la Croix-de-Fer (2067 m) qui retiendra toute l'attention, remplaçant l'habituel passage au Galibier impraticable en raison d'un glissement de terrain. L'avant dernière étape, le 25 juillet, sera bien sur portée par la montée finale vers l'Alpe d'Huez (1850 m), un enchaînement de 21 lacets emprunté pour la 29e fois par le Tour de France !
C'est entre Rennes et Mûr de Bretagne, 8e étape du Tour que les cyclistes feront face à leur première grimpette, une côte de 2 km à 6,5 %, un petit avant goût des Pyrénées. Car après un contre-la-montre de 28 km de Plumelec à Vannes, ils profiteront d'une journée de repos bien méritée avant d'entamer la difficile succession d'étapes de montagne au programme de cette année.
Des ascensions mythiques
Changement de décors avec la 10e étape, qui réserve une arrivée inédite à la Pierre-Saint-Martin (Pyrénées-Atlantiques) et passera par le col de Soudet, culminant à près de 1540 mètres d'altitude. Presque une promenade de santé tant l'étape suivante entre Pau et Cauterets dans la vallée de Saint-Savin s'annonce difficile. La côte de Bagnères-de-Bigorre, le col d'Aspin (1490 m) et le mythique col du Tourmalet (2115 m), le parcours est à lui seul un véritable défi. La 12e étape au départ de Lannemezan sera marquée par la traversée du col de Portet-d'Aspet (1069 m) connu notamment pour le tragique décès de Fabio Casartelli survenu en 1995, le col de la Core (1395 m) et l'arrivée sensationnelle au Plateau de Beille (1780 m). La transition vers les Alpes se fera plus douce mais connaîtra tout de même quelques sursauts d'ascensions notamment entre Rodez et Mende, à Côte de Sauveterre (1014m) et Côte de la Croix Neuve (1055m).
Un concentré de montagne
À partir de la 17e étape, les spectateurs auront droit à un vrai concentré de montagne. D'abord entre Dignes-les-Bains et Pra-Loup qui verra les coureurs franchir le célèbre col d'Allos (2250 m). Sans oublier les lacets de Montvernier et ses terribles virages lors de la 18e étape. Entre Saint-Jean-de-Maurienne et La Toussuire, c'est le col de la Croix-de-Fer (2067 m) qui retiendra toute l'attention, remplaçant l'habituel passage au Galibier impraticable en raison d'un glissement de terrain. L'avant dernière étape, le 25 juillet, sera bien sur portée par la montée finale vers l'Alpe d'Huez (1850 m), un enchaînement de 21 lacets emprunté pour la 29e fois par le Tour de France !
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